Notre ton et notre expression ont de l’importance

Ce jeu fonctionne bien pendant un trajet en voiture. Dites une phrase à vos enfants et faites-leur deviner si votre ton est doux ou dur. Par exemple, vous pouvez dire de plusieurs manières différentes : « S’il te plait, arrête cela. » Laissez vos enfants vous dire s’ils aiment qu’on leur parle ainsi ou non.

Ce jeu peut mener à une discussion sur le ton de notre voix et les raisons pour lesquelles les gens ont plus de facilité à nous écouter quand on parle avec douceur.

Questions pour lancer la discussion

Servez-vous des questions suivantes pour aider vos enfants à réfléchir à leur manière de parler aux autres.

  • Comment aimerais-tu que je te demande de ranger ta chambre ?
  • Comment un parent devrait-il expliquer à son enfant qu’il est temps de rentrer quand il s’amuse chez un ami ?
  • Que pourrais-tu dire lorsque tu me demandes un bonbon et que je ne te le donne pas ?
Versets correspondants

Proverbes 16.24 « Les paroles agréables sont un rayon de miel : elles sont douces pour l’âme et porteuses de guérison pour le corps. »

Proverbes 16.21 « L’homme au cœur sage est appelé intelligent, et la douceur des lèvres augmente la force de persuasion. »

Le vent du Nord

Pour renforcer cette leçon sur la douceur, demandez aux enfants de fermer les yeux et de se servir de leur imagination tandis que vous leur décrivez deux situations météorologiques opposées. Voici un petit extrait de ces descriptions pour vous aider :

Imaginez la journée d’hiver la plus froide que vous puissiez penser. Un vent glacial souffle fort et transporte avec lui les petits cristaux de glace et des flocons de neige qui vous piquent le visage tellement le vent est violent. Maintenant, imaginez une douce journée de printemps. Le soleil brille dans le ciel et une petite brise légère vient vous caresser la peau. Un parfum de fleurs flotte dans l’air.

Questions pour lancer la discussion
  • Comment te sens-tu quand tu t’imagines dehors, un jour de tempête d’hiver ?
  • Comment te sens-tu quand tu t’imagines dehors, par un beau jour de printemps ?
  • En quoi les personnes peuvent-elles parfois ressembler à un jour d’hiver très froid ?
  • En quoi les personnes peuvent-elles parfois ressembler à une douce journée de printemps ?
  • Quel genre de personne aimerais-tu avoir pour ami ou comme membre de ta famille ?
  • Quel genre de personne aimerais-tu être ?

La satisfaction qui résulte de la persévérance

Commencez à lire ou à raconter une longue histoire d’aventure à vos enfants. Juste au moment où l’histoire devient passionnante, arrêtez brusquement de parler. Lorsque vos enfants vous demandent de continuer, dites-leur que votre voix est fatiguée et que vous voulez arrêter de parler.

Vos enfants vous supplieront certainement de raconter la fin de l’histoire. Acceptez finalement de continuer en leur disant : « d’accord, je vais persévérer. » Quand l’histoire est terminée, demandez à vos enfants s’ils sont contents que vous ayez persévéré jusqu’à la fin de l’histoire. Dites-leur que l’on ressent de la satisfaction en finissant de raconter une longue histoire ou en terminant un long projet. Vous voudrez peut-être aussi leur faire réaliser que, comme parents, vous travaillez fort chaque jour pour leur fournir ce dont ils ont besoin : argent, nourriture et vêtements.

 

La règle de la grâce

À tout moment

La règle de la grâce est la suivante : typiquement, dans une partie de petits chevaux, quand un joueur atterrit sur une case déjà occupée, la règle veut que le pion du joueur qui occupait cette case soit renvoyé au départ.

La règle de la grâce intervient quand cette situation arrive pour un joueur qui est déjà très en retard sur les autres. Si vous êtes sur le point de « manger » le pion d’un joueur qui a très peu de chances de gagner, choisissez de vous placer sur la case derrière lui plutôt que de le faire recommencer.

Après le jeu, ou pendant votre prochain trajet en voiture, servez-vous des questions suivantes pour proposer à vos enfants des situations de vie dans lesquelles on peut appliquer la règle de la grâce.

Priez avec vos enfants et demandez à Dieu d’être une famille qui se plait à appliquer la règle de la grâce, et pas seulement quand elle joue aux jeux de société.

Questions pour lancer la discussion
  1. Sais-tu ce que veut dire « frapper un homme à terre » ?
  2. As-tu des exemples de personnes autour de toi qui souffrent ou qui sont « à terre » ?
  3. Comment peut-on appliquer la règle de la grâce dans chacune de ces situations ?
Versets correspondants

1 Pierre 3.8 « Enfin, ayez tous les mêmes pensées et les mêmes sentiments, soyez pleins d’amour fraternel, de compassion, de bienveillance.»

Jacques 3.17 « La sagesse d’en haut est tout d’abord pure, ensuite porteuse de paix, douce, conciliante, pleine de compassion et de bons fruits, elle est sans parti pris et sans hypocrisie. »

Un diamant au soleil

Commencez par montrer à votre enfant un diamant (ou un cristal) dans une pièce peu éclairée. Le diamant semble capter et refléter toute la lumière de la pièce.

Ensuite, allez dans un endroit bien éclairé par le soleil et montrez à votre enfant toute la lumière et les couleurs que le diamant reflète.

Pour finir, rendez-vous dans une pièce où il n’y a pas de lumière. Le diamant éclaire-t-il ? Le voit-on ?

Servez-vous des questions ci-dessous pour aider votre enfant à voir la ressemblance entre les êtres humains et les diamants.

Questions pour lancer la discussion

1. En quoi les gens ressemblent-ils à ce diamant ?
2. Quand sont-ils comme le diamant dans la pièce peu éclairée ?
3. Quand sont-ils comme le diamant dans la pièce sans lumière ?
4. Quand sont-ils comme le diamant qui scintillait au soleil ?
5. Sais-tu à quoi ressemble un diamant quand on l’extrait du sol ?
6. Comment penses-tu qu’ils en viennent ensuite à ressembler à celui-ci, brillant et tout propre ?
7. En quoi peut-on comparer les gens à des diamants bruts ?
8. Comment Dieu peut-il lisser nos facettes et nous faire briller ?
9. Quel genre de diamant voudrais-tu être ?

Concepts fondamentaux

Les êtres humains sont comme des diamants : de par eux-mêmes, ils peuvent faire de bonnes choses, être attentifs aux autres et se montrer généreux. Les bonnes personnes sont comme des diamants dans une pièce peu éclairée : elles sont attirantes et on a envie de passer du temps avec elles.

Certains êtres humains peuvent aussi se montrer odieux avec les autres. Ils sont comme des diamants dans une pièce sans lumière. Là, les diamants ne reflètent rien du tout. Rien à leur sujet ne nous attire vers eux.

Mais là où un diamant est le plus beau, c’est quand on le met au soleil. Pour pouvoir briller de toutes ses forces, un diamant doit être exposé à une lumière éclatante. Nous devenons comme des diamants au soleil quand nous suivons Dieu et reflétons son amour envers les autres. Nous ne pouvons en aucun cas refléter l’amour de Dieu sans l’aide de son Saint-Esprit. Nous devons être remplis de l’Esprit de Dieu pour pouvoir briller et devenir une lumière pour les autres.

Quand un diamant est extrait du sol, il n’est ni poli ni brillant. Il ressemble à un vieux bout de verre usé. Il ne peut pas encore refléter la lumière. C’est ce qu’on appelle un diamant brut. Un tailleur de diamants professionnel doit le découper et le polir pour qu’il devienne magnifique et brillant.

De la même manière, Dieu doit nous polir en nous envoyant son Saint-Esprit pour nous montrer le péché dont il veut que nous soyons débarrassés. Quand nous aimons Dieu et que nous lui obéissons, nous devenons de plus en plus capables de refléter son amour envers les autres.

Priez pour votre enfant en demandant à Dieu de remplir votre maison et vos coeurs de son Saint-Esprit pour que votre famille puisse refléter l’amour de Dieu.

Versets correspondants

1 Jean 2.6 « Celui qui affirme demeurer en Christ doit aussi vivre comme il a lui-même vécu. »

2 Corinthiens 3.4-6 « Telle est l’assurance que nous avons par Christ auprès de Dieu. Je ne dis pas que nous soyons capables, par nous-mêmes, de concevoir quelque chose comme si cela venait de nous. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. Il nous a aussi rendus capables d’être serviteurs d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’Esprit; car la lettre tue, mais l’Esprit fait vivre. »

2 Corinthiens 3.17-18 « Or le Seigneur, c’est l’Esprit, et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, sans voile sur le visage, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, par l’Esprit du Seigneur. »

Un Dieu qui fait du bon travail

Écoutez attentivement les réponses de votre enfant pour savoir s’il a une image positive de lui-même ou une vision trop extrême (positive ou négative). Vous
pourrez vous servir de ce que vous avez appris pour la suite de cette activité.

Rassemblez des informations sur divers animaux, à travers des livres ou sur internet. Sortez ensuite du papier et des feutres ou des crayons de couleur.

Demandez à votre enfant de dessiner un animal qu’il aime. Parlez du fait que Dieu a donné à chaque animal des traits particuliers pour qu’ils puissent fonctionner selon son plan parfait. Faites des recherches ensemble pour découvrir les spécificités
que Dieu a données à chaque créature. Par exemple, les oiseaux ont des os très légers et des plumes qui leur permettent de voler. Leur corps a également une forme aérodynamique. Les oiseaux de proie sont équipés d’un bec solide et de griffes (des serres) pour mieux capturer leur repas.

Discutez du fait que chaque partie du corps de l’animal est indispensable à sa survie. Servez-vous pour cela des questions ci-dessous ou bien posez vos propres questions en fonction des animaux qui intéressent votre enfant.

Questions pour lancer la discussion
  1. Un chien pourrait-il encore se nourrir s’il décidait de se faire museler, pensant : « Je me fais gronder à chaque fois que j’aboie. Je ne veux plus de cette gueule » ?
  2. Un oiseau pourrait-il voler s’il décidait qu’il ne voulait plus de sa queue en disant : « Je n’ai pas besoin d’une queue si je ne peux même pas la remuer comme mon ami le chien » ?
  3. Et si une vache déclarait : « Je n’ai pas besoin d’une langue, c’est rose et caoutchouteux. Les humains se moquent de moi quand je la glisse dans mon nez parce qu’ils trouvent cela dégoutant » ?
  4. Si un grizzly voulait se débarrasser de ses griffes pour être aussi doux qu’un nounours, pourrait-il encore se nourrir ?
  5. Peux-tu imaginer d’autres choses que les animaux voudraient changer chez eux ?
  6. Arrive-t-il à certains de se plaindre de la manière dont Dieu les a créés ?
hoo_Patience - Growing patience candy

Faire pousser des “bonbons patience”

Il s’agit d’une expérience basée sur Colossiens 1.10-12.

Il vous faudra une tasse d’eau, trois tasses de sucre, un pot en verre, un trombone, des colorants alimentaires (optionnel), du papier absorbant et un fil de coton ou de laine.

1. Sous la supervision d’un adulte, faites bouillir une tasse d’eau.

2. Retirez l’eau du feu et laissez les enfants y ajouter le sucre, une cuillère à la fois. Mélanger après chaque cuillère (c’est un premier exercice de patience). Pendant que vos enfants mélangent jusqu’à ce tout le sucre soit dissout, discutez avec eux de situations où il leur est difficile d’être patients. Encouragez-les dans leur tâche fastidieuse (si le sucre ne se dissout pas graduellement, les Bonbons Patience ne se formeront pas correctement). Quand le sucre commence à s’agglutiner au fond de la casserole, cela signifie qu’on en a rajouté suffisamment.

3. Versez votre eau saturée en sucre dans un pot en verre. C’est le moment, si vous le désirez, de rajouter le colorant alimentaire.

4. Pour créer une surface d’accroche pour les cristaux, attachez une ficelle au milieu d’un crayon en bois. À l’autre bout de la ficelle, attachez un trombone ou un autre objet stérile et sans plomb, pour servir de poids.

5. Faites tremper la ficelle dans votre eau sucrée en vous assurant que le poids est proche du fond, mais sans le toucher.

6. Placez le pot dans un endroit de la maison où il ne risque pas d’être renversé, mais où vous pouvez l’observer à loisir. Couvrez-le avec un papier absorbant pour éviter toute contamination.

7. Il n’y a plus qu’à attendre et observer. Après environ 24h, vous devriez voir des cristaux commencer à se former. Cela va continuer jusqu’à ce que tout le sucre soit cristallisé.

8. Au bout de 4 à 5 jours, vous pouvez enfin sortir les bonbons de l’eau et les faire sécher. Vous pouvez les manger ou bien les garder en souvenir.

Tout en dégustant ou en admirant vos cristaux, prenez le temps de discuter avec vos enfants du fait que c’est la puissance de Dieu en nous qui nous aide à être patients. Tout comme les cristaux mettent du temps à se former, le fruit de l’Esprit prend parfois du temps pour se développer en nous. Expliquez-leur que c’est difficile d’être patient, mais qu’avec l’aide de Dieu, cela devient possible. Vous pouvez aussi leur dire combien Dieu aime nous voir faire preuve de patience. Terminez avec une prière, en demandant à Dieu d’envoyer son Saint-Esprit sur toute votre famille pour que chacun gagne en patience.

Note : pour une option sans sucre, vous pouvez faire pousser une fleur avec vos enfants et attendre de la voir s’ouvrir.

Verset correspondant
Colossiens 1.9b-12 : « Nous demandons que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toutes sagesse et intelligence spirituelles, pour marcher d’une manière digne du Seigneur et lui plaire entièrement. Vous aurez pour fruits toutes sortes d’œuvres bonnes et vous progresserez dans la connaissance de Dieu, vous serez fortifiés à tout point de vue par sa puissance glorieuse pour être toujours et avec joie persévérants et patients, et vous exprimerez votre reconnaissance au Père qui nous a rendus capables de prendre part à l’héritage des saints dans la lumière. »

Cœurs purifiés

Vous aurez besoin de tissu blanc (une vieille taie d’oreiller ou un torchon), des crayons-feutres lavables, un peu d’eau de Javel, de l’eau et un bol.

  • Préparez une solution d’eau et d’eau de Javel à parts égales.
  • Découpez un morceau du tissu blanc en forme de cœur. Laissez vos enfants le colorier autant qu’ils le veulent avec les crayons-feutres lavables. Pendant qu’ils colorient, dites-leur que le cœur représente nos cœurs et que les traces de crayons-feutres représentent nos péchés. N’hésitez pas à parler de péchés particuliers.
  • Ensuite, trempez le cœur dans la solution javellisée. Ce faisant, lisez ensemble 1 Jean 1.8-9 : « Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous trompons nous-mêmes et la vérité n’est pas en nous. Si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal. »
  • Expliquez à vos enfants que Dieu nous promet que même si nos péchés sont aussi rouges que le rouge d’un crayon-feutre, Il les rendra aussi blancs que la neige, aussi éclatant que le cœur trempé dans la solution javellisée.
  • Finalement, lisez ensemble Ésaïe 1.18: « Venez et discutons! dit l’Eternel. Même si vos péchés sont couleur cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; même s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront clairs comme la laine. » Prenez le temps de demander à vos enfants s’ils désirent avoir un cœur taché ou un bien propre. Priez alors ensemble en vous inspirant de la section Prière des enfants.

Vos enfants pourraient garder leur cœur en tissu blanc pour les aider à se souvenir de la promesse de Dieu de pardonner les péchés. Pendant la semaine, lorsque vos enfants commettent un péché, demandez-leur s’ils ont ainsi « taché » leur cœur. Suggérez-leur de prier avec vous pour que Dieu « lave » le péché de leur cœur.

Faire preuve d’amour

Selon les directives de Luc 17.3, imaginez plusieurs scénarios au travers desquels vos enfants peuvent s’entraîner à « dire la vérité avec amour. » Voici un exemple :

Premier scénario : « Disons qu’un enfant t’arrache des mains le jouet avec lequel tu t’amuses. Que dirais-tu à cet enfant ? »
Réponse possible : « Ce n’était vraiment pas gentil de ta part de m’arracher ce jouet des mains. Pourrais-tu me le rendre, s’il te plaît ? »

Deuxième scénario : « Si l’autre enfant refuse de te rendre le jouet qu’il t’a pris, que devrais-tu faire? »
Réponse possible : « Je devrais aller chercher un adulte pour lui demander de l’aide. »

Troisième scénario : « Si l’autre enfant te présente ses excuses, que devrais-tu lui répondre? »
Réponse possible : « Je te pardonne. Merci de m’avoir rendu mon jouet. Est-ce que tu voudras t’amuser avec quand j’aurai fini ? »

Passages bibliques correspondants

Luc 17.3 « Faites bien attention à vous-mêmes. Si ton frère a péché [contre toi], reprends-le et, s’il reconnaît ses torts, pardonne-lui. »

L’éponge de Dieu

Là où il y a des enfants, il y aura aussi de petits accidents avec la nourriture ou les boissons. Utilisez un de ces moments pour parler de « l’éponge de Dieu » avec vos enfants.

En nettoyant les dégâts, comparez ce qui s’est renversé avec une mauvaise action. Donnez-leur des exemples auxquels ils pourront s’identifier, comme les insultes, les moqueries, l’agressivité ou les disputes à propos de jouets.

Expliquez de la façon suivante comment ils devraient réagir lors de ces situations :

Nous pouvons choisir la façon dont nous réagissons à la mauvaise action de quelqu’un d’autre (le « dégât »). Une des options serait de le relancer au visage de cette personne. De les faire payer pour ce qu’ils nous ont fait, en quelque sorte.

L’autre option serait de se servir de l’« éponge de Dieu » et de calmement nettoyer les dégâts occasionnés par l’autre personne sans les faire payer ou les culpabiliser de nous avoir blessé. Le pardon prend place lorsque l’autre personne vient nous demander pardon et nous le lui accordons. Nous pouvons aussi faire preuve de grâce en adoptant une attitude de pardon envers cette personne, même si elle ne veut pas reconnaître ses torts. Dieu Lui-même nous offre le pardon et la grâce.

Passages bibliques correspondants

Néhémie 9:17 « Mais toi, tu es un Dieu prêt à pardonner, tu fais grâce, tu es rempli de compassion, lent à la colère et riche en bonté, et tu ne les as pas abandonnés. »

1 Thessaloniciens 5.15 « Veillez à ce que personne ne rende à autrui le mal pour le mal, mais recherchez toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous les hommes. »

Matthieu 6.14-15 « Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes. »