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Prière des enfants

Modèles de prière

Lire Marc 11.25. Avant de commencer à prier, demandez à Dieu de tous vous aider à sonder vos cœur afin de vous assurer personne ne garde rancune envers personne.

Seigneur, j’ai du mal à pardonner à ________ d’avoir _________________. Je Te demande de remplir mon cœur de Ton amour pour que je puisse lui pardonner comme Toi, Tu m’as pardonné. Amen.

Seigneur, je sens que je préférerais faire du mal à __________ plutôt que de lui pardonner. S’il Te plaît, aide-moi à me rappeler que c’est à Toi de discipliner les autres, et pas à moi. Amen.

Seigneur, merci d’avoir envoyé Jésus pour mourir sur la croix afin que nos péchés puissent être pardonnés. Merci d’avoir pardonné mes péchés. Je Te demande de m’aider à pardonner les autres comme Tu nous pardonnes. Amen

Seigneur, je Te demande pardon d’avoir _______________________. Pardonne-moi, s’il Te plaît. Amen.

Seigneur, j’ai peur de demander pardon à ___________. Aide-moi, s’il Te plaît, à avoir le courage de faire ce qui est juste devant Toi. Amen.

Prier en s’inspirant de la Bible

Vous pouvez lire quelques uns de ces passages de la Bible et aider vos enfants à prier en se basant sur un ou deux versets. Encouragez les à écouter Dieu et à permettre à Son Esprit-Saint de guider leurs prière.

Tourner les yeux vers Dieu

Commence par dire à Dieu à quel point tu apprécies Son amour, Sa grâce, Sa miséricorde et Son pardon.

Psaume 86.5 | Psaume 145.8 | Michée 7.18-19

Chercher dans son cœur

Reconnais les occasions où tu as du mal à pardonner aux autres.

Matthieu 6.14-15 | Ephésiens 4.31 | 1 Jean 2.9

Être reconnaissant

Remercie Dieu pour les occasions où tu as pu voir les membres de ta famille pardonner facilement.

Requêtes personnelles

Demande à Dieu de t’aider, ainsi que tes frères et sœurs et tes parents, à bien vouloir pardonner aux autres rapidement, dans toutes les situations.

Éphésiens 4.2-3 | Éphésiens 4.32 | Colossiens 3.12-14

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Histoires de la Bible

La parabole de la brebis perdue

Lire Luc 15.3-7Jean 3.16 et Jean 1.12.

Questions pour la discussion
  1. Combien de brebis le berger de l’histoire possédait-il ?
  2. Combien se sont perdues ?
  3. Qu’a-t-il fait à propos de sa brebis perdue ?
  4. Qu’a-t-il fait lorsqu’il l’a retrouvée ?
  5. Que signifie « se repentir » ?
  6. Qui Dieu veut-Il accueillir au paradis ?
  7. Si tu étais une petite brebis, est-ce que Dieu serait à ta recherche, ou t’aurait-Il déjà trouvé ?
Concepts fondamentaux

Jésus a raconté l’histoire d’un homme qui avait 100 brebis. Un jour, il en a perdu une. Bien qu’il en possédait encore plein, cet homme ne voulait pas s’arrêter de chercher jusqu’à ce qu’il retrouve celle qui était perdue.

Jésus a raconté cette histoire pour aider les gens à comprendre la réjouissance qu’il y a au Ciel lorsque même un seul pécheur se repent. Se repentir signifie se détourner de son péché et dire à Dieu à quel point nous regrettons d’avoir péché. Dieu aime tellement les personnes qu’Il a créées qu’Il offre la vie éternelle à quiconque croit en Son Fils, Jésus, et se repent de ses péchés.

La Bible dit : « … à tous ceux qui l’ont acceptée, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le droit de devenir enfants de Dieu » (Jean 1.12). Dieu souhaite que tous fassent partie de Sa famille et passent l’éternité au Ciel avec lui (1 Timothée 2.3-4, 2 Pierre 3.9). Ceux qui ne croient pas que Jésus est le Fils de Dieu et n’ont pas demandé pardon à Dieu pour leurs péchés sont comme des brebis perdues. Dieu nous invite tous à le chercher et à le trouver (Actes 17.27-28).

Voici peut-être une bonne occasion de partager le message du salut avec votre enfant, ou de le lui rappeler.

L’inacceptable : l’absence de pardon

Lire Matthieu 18.21-35.

Questions pour la discussion
  1. Qu’est-ce que le roi a fait pour son serviteur ?
  2. Est-ce que le serviteur a montré qu’il était reconnaissant ?
  3. Qu’est-ce que ce serviteur a fait à l’autre serviteur ?
  4. Qu’est-ce que le roi a fait au serviteur qui ne voulait pas
    pardonner ?
  5. Est-ce que tu voudrais que Dieu te mette en prison pour ne pas avoir pardonné à ton frère ou ta sœur, ou un ami ?
Concepts fondamentaux

Il était une fois un serviteur qui devait beaucoup d’argent à son roi. Il devait perdre toutes ses possessions pour repayer sa dette, mais le roi eut pitié de lui et la lui annula.

Ce même serviteur, qui s’était fait pardonner sa dette, trouva en sortant de chez le roi un autre serviteur qui lui devait un tout petit peu d’argent. Il l’attrapa et commença à l’étrangler en disant : « Paie ce que tu me dois. » Il exigea que l’autre serviteur soit jeté en prison jusqu’à ce qu’il puisse le rembourser.

Lorsque le roi entendit ce qui s’était passé, une terrible colère s’empara de lui et il jeta le premier serviteur en prison. La morale de cette histoire est que nous devons avoir pitié les uns des autres et nous pardonner les uns aux autres, comme Dieu a pitié de nous lorsqu’Il nous pardonne. Lorsque nous refusons de pardonner, nous sommes comme le premier serviteur. Dieu nous a pardonné tous nos péchés et nous devons nous aussi être prêts à pardonner aux autres.

Le pardon sans limite

Lire Luc 17.3-4, Matthieu 6.12-15 et 1 Jean 4.19-21.

Questions pour la discussion
  1. Est-ce que tu peux penser à quelque chose d’énervant que fait ton frère, ta sœur ou un ami ?
  2. Combien de fois est-ce qu’on doit pardonner à quelqu’un ?
  3. Est-ce que c’est difficile de pardonner à quelqu’un encore et encore ?
  4. Qu’est-ce que tu peux faire si tu as besoin d’aide pour pardonner à quelqu’un ?
Concepts fondamentaux

La Bible nous enseigne que nous devons être prêts à pardonner aux autres de multiples fois, tout comme Dieu le fait pour nous. Le nombre qui nous est donné est 70 x 7, ce qui est assez grand ! La Bible nous apprend aussi que nous montrons notre amour envers Dieu lorsque nous faisons preuve d’amour les uns envers les autres.

Juger, c’est le boulot de Dieu

Lire Romains 12.17-21 et 1 Corinthiens 4.5.

Questions pour la discussion
  1. Lorsque Dieu nous pardonne, est-ce que ça veut dire qu’Il est d’accord avec ce que nous avons fait ?
  2. Lorsque nous pardonnons aux autres, est-ce que ça veut dire qu’on est d’accord avec ce qu’ils ont fait ?
  3. Pourquoi Dieu veut-Il que nous soyons prêts à pardonner aux autres lorsqu’ils ne nous ont pas demandé pardon ou qu’ils n’ont pas changé ?
  4. Est-ce que nous méritons d’être pardonnés ?
  5. Dieu devrait-Il nous pardonner ?
  6. À qui Dieu pardonne-t-Il ?
  7. À qui devrait-on pardonner ?
Concepts fondamentaux

Lorsque nous pardonnons aux autres, ce n’est pas comme si nous déclarions que ce qu’ils ont fait est bien. Mais nous choisissons de mettre de côté notre droit de rester en colère contre eux à cause du mal qu’ils ont fait. En fait, nous confions notre problème au Seigneur, ainsi que notre tristesse. C’est Dieu qui sera le juge de ce qui doit arriver à ceux qui font le mal. Au lieu de repayer le mal avec le mal, nous devrions montrer de la gentillesse (1 Thessaloniciens 5.15).

C’est Dieu qui a donné à certaines personnes le droit de nous juger, afin de nous discipliner (Romains 13.1-6). Ces personnes peuvent être des juges, des policiers, des membres du gouvernement ou encore des parents avec leurs enfants. Ce n’est pas la responsabilité ou le droit des enfants de se discipliner les uns les autres. Dieu pardonne à tous ceux qui le Lui demandent, et nous devons faire la même chose. La Bible nous dit que si nous ne nous pardonnons pas les uns aux autres, alors Dieu ne nous pardonnera pas non plus.

Des cœurs en pierre

Lire Lévitique 19.17-18, Matthieu 18.35 et Proverbes 4.20-23.

Demandez à votre enfant de bien écouter et de repérer le mot « cœur » dans les versets que vous lui lirez à haute voix. Vous pourriez aussi donner une pierre à votre enfant, qu’il pourra tenir en main pendant la discussion.

Questions pour la discussion
  1. Comment décrirais-tu une pierre ?
  2. Comment notre cœur peut-il ressembler à une pierre ?
  3. Est-ce qu’un cœur endurci est capable de pardonner ?
  4. Est-ce que tu trouves cela facile de pardonner lorsque quelqu’un t’a fait du tort ?
  5. Pourquoi devrais-tu pardonner ?
  6. Est-ce que quelqu’un t’a déjà pardonné ?
  7. Comment t’es-tu senti ?
  8. Qui peut t’aider à pardonner ?
  9. Quand on n’aime pas quelqu’un, on ne veut même pas être à côté de cette personne. Comment peux-tu montrer de l’amour sincère envers une personne que tu n’aimes pas ?
  10. Est-ce que tu n’aimes pas la personne elle-même, ou est-ce que ce sont ses actions que tu n’aimes pas ?
  11. Comment le pardon t’aide-t-il et aide-t-il la personne qui t’a fait du tort ?
Concepts fondamentaux

À l’opposé de l’amour, il y a la haine. Haïr quelqu’un veut dire qu’on a un sentiment extrêmement fort contre cette personne. D’habitude, on se tient à l’écart des choses ou des personnes que l’on déteste. Garder de la rancune, c’est lorsque l’on se rappelle de ce que quelqu’un nous a fait de mal et qu’on n’a pas une attitude ou un comportement amical envers cette personne. Dans le livre des Proverbes, Dieu nous dit que nous serons en meilleure santé si nous gardons nos cœurs de la haine et de la rancune. Si nous ne pardonnons pas sincèrement, du plus profond de nos cœurs, alors Dieu ne nous pardonnera pas non plus. Dieu ordonne à ceux qui croient en Lui d’aimer les autres comme ils s’aiment eux-mêmes (Galates 5.14, Jacques 2.8).

Choisir de passer outre

Lire Proverbes 19.11, Proverbes 15.1, Proverbes 17.1, Proverbes 12.16, Proverbes 10.19 et Proverbes 8.32-35.

Questions pour la discussion
  1. Explique ce qu’est une offense.
  2. Quel genre de chose peut t’offenser ?
  3. Qu’est-ce que ça veut dire de passer outre une offense ?
  4. Est-ce que c’est facile de passer outre une offense ?
  5. Comment peux-tu arriver à passer outre une offense lorsque c’est difficile pour toi ?
  6. Quel conseil plein de sagesse le roi Salomon a-t-il donné dans le livre des Proverbes pour passer outre les offenses ?
  7. Est-ce que tu préférerais vivre dans une maison pleine de paix, ou pleine de disputes ?
  8. Qu’est-ce que ça veut dire de « retenir » sa langue ?
  9. Qui a rendu Salomon sage ?
  10. Qu’est-ce que ça nous apporte de suivre la sagesse de Dieu et de suivre les conseils qu’Il nous donne ?
Concepts fondamentaux

Une offense, c’est quand quelqu’un fait quelque chose qui nous blesse, nous met en colère ou nous énerve. Souvent, il s’agit de quelque chose de mineur, de pas très important, et ne devrait pas être une raison suffisante pour que nous nous disputions avec les autres. Passer outre une offense signifie choisir de ne pas y faire attention, de l’ignorer. La Bible nous enseigne que de passer outre une offense est à notre gloire. Cela veut dire que Dieu est content lorsque nous passons outre si quelqu’un nous fait quelque chose de mal.

Dans le livre des Proverbes, Salomon, qui était un roi plein de sagesse, nous donne des conseils à ce sujet. En résumé, Salomon nous conseille de parler aux autres avec douceur, parce que les paroles dures ne font que provoquer la colère. Il nous enseigne aussi que les sages font preuve de patience et sont prêts à passer outre les offenses, mais que les insensés s’énervent rapidement.

Salomon a aussi conseillé aux gens de ne pas trop parler, mais de « mettre un frein à leurs lèvres », parce que lorsqu’on parle, il est plus facile de pécher. Selon les enseignements de Salomon, il est préférable de vivre dans une maison où l’on s’entend bien, même lorsqu’il y a peu à manger, que dans une maison où l’on se dispute, même s’il y a de la nourriture en abondance. Lorsque nous suivons les conseils de sagesse que Dieu nous donne dans la Bible, Il nous promet de nous bénir et de nous guider.

Transformer la haine en amour

Lire Genèse 4.1-16, 1 Jean 3.11-15 et 1 Jean 4.19-21.

Questions pour la discussion
  1. Est-ce que c’est possible de pardonner à une personne pour laquelle on ressent de la haine ?
  2. Pourquoi Caïn détestait-il son frère ?
  3. Est-ce que Caïn avait-il une bonne raison d’être à ce point en colère contre son frère ?
  4. Pourquoi penses-tu que Dieu a accepté le sacrifice d’Abel, mais pas celui de Caïn ?
  5. Comment peux-tu changer ta haine et ta colère en amour et en pardon ?
Concepts fondamentaux

Caïn et Abel étaient frères. Un jour, ils ont tous les deux présenté une offrande à Dieu. Dieu a accepté celle d’Abel, mais pas celle de Caïn. C’est pour cela que Caïn s’est mis très en colère, si bien qu’il a tué son frère parce qu’il en était jaloux (1 Jean 3.12). Après que Caïn a tué Abel, Dieu lui a dit qu’il devrait partir et rester loin de Sa présence à cause de son péché.

Nous aussi, nous pouvons être tentés de laisser notre colère ou notre haine nous porter à faire du mal à autrui. Cela ne plaît pas à Dieu. Pour nous débarrasser de toute colère et de toute haine, nous devons demander à Dieu de mettre Son amour dans nos cœurs. Dieu veut que nous aimions les autres comme Il nous aime.

La demande de pardon d’un fils

Lire Luc 15.11-24.

Questions pour la discussion
  1. Comment le fils a-t-il péché contre son père ?
  2. Comment le père a-t-il su que son fils regrettait ce qu’il avait fait ?
  3. Le fils s’attendait-il à être pardonné ?
  4. À qui le fils a-t-il demandé pardon pour son comportement égoïste ?
Concepts fondamentaux

Le Seigneur Jésus a raconté l’histoire d’un fils qui a demandé à son père de lui donner tout l’argent de son héritage, et qui est ensuite parti de chez lui et est allé le gaspiller en s’amusant. Lorsqu’il a eu tout dépensé, il a trouvé un emploi : il nourrissait des cochons. C’était un travail horrible et il avait si faim qu’il voulait manger la nourriture des cochons. Le fils s’est rendu compte qu’il était vraiment malheureux et il a commencé à penser que s’il pouvait retourner chez lui pour travailler en tant que serviteur, en s’occupant des animaux de son père, sa vie n’en serait que meilleure.

Il se rendit compte qu’il avait péché contre Dieu et contre son père. Il retourna donc chez lui pour demander pardon à son père. Celui-ci fut tellement content d’apercevoir son fils et il comprit, en le voyant revenir à la maison, qu’il regrettait ce qu’il avait fait. Le père pardonna donc à son fils et l’accueillit de nouveau chez lui, lui redonnant sa place au sein de la famille. C’est comme cela que Dieu nous pardonne lorsque nous nous repentons de nos péchés. Il nous accueille dans Sa famille.

Secrets

Lire Hébreux 4.13, Psaume 32.3-5, Proverbes 28.13 et 1 Jean 1.8-10.

Questions pour la discussion
  1. Est-ce que tu t’es déjà senti mal à l’aise parce que tu as fait quelque chose de mal, sans t’être confié à personne ?
  2. Est-ce que tu as déjà eu à garder un secret, par exemple pour une surprise de fête d’anniversaire ou pour un cadeau ? Est-ce que ça a été difficile de garder ce secret ?
  3. Combien d’effort cela requiert-il de garder un secret ?
  4. Est-ce que c’est logique de « garder un secret » envers Dieu ?
  5. Est-ce que Dieu est prêt à nous pardonner lorsque nous péchons ?
  6. Pour quelles raisons quelqu’un choisirait-il de ne pas demander pardon ?
Concepts fondamentaux

Dieu est au courant de tout ce que nous faisons, même lorsque c’est un secret. Essayer de garder nos péchés cachés et ne pas vouloir demander pardon à Dieu ou aux autres peut nous accabler, comme si nous étions obligés de porter un poids très lourd. Dieu est prêt à nous pardonner lorsque nous nous tournons vers Lui dans la repentance. La Bible nous enseigne que nous ne pouvons pas bénéficier de la bénédiction de Dieu si nous ne nous tournons pas vers Lui dans la repentance pour les péchés que nous avons commis.

Cette histoire cadre bien avec l’activité De lourds bagages.

Jésus et le pardon

L’histoire suivante offre des occasions d’échanges avec votre enfant. Expliquez-lui ce que le Christ a accompli à travers Sa mort sur la Croix. Bien que les passages bibliques sélectionnés soient souvent associés à Pâques, l’histoire du pardon de Dieu est de mise à n’importe quel moment de l’année.

Quinze passages des Écritures, accompagnées de questions pour la discussion, sont présentées ci-dessous. Nous vous proposons d’en lire une par jour avec vos enfants pendant le Carême, jusqu’à Pâques.

Pour aider vos enfants à participer, procurez-vous des œufs creux en plastique. Placez un verset biblique et un objet symbolique (ou son dessin) pour chaque lecture, à l’intérieur de chaque œuf – ou placez-les dans un carton d’œufs vide. Ce genre d’œufs peut être acheté dans certaines librairies chrétiennes ou sur Internet.

Lorsque vous aurez terminé ces lectures, assurez-vous de demander à votre enfant s’il veut que le Seigneur Jésus devienne son ami, lui pardonne ses péchés et règne sur sa vie. Si votre enfant choisit de le faire, prenez le temps de l’aider à personnaliser sa prière, pour demander le pardon de Dieu et Lui offrir d’être le Seigneur de sa vie. Après la prière, assurez votre enfant que l’amour, le pardon et la souveraineté de Dieu dans sa vie sont bien réels.

Bienvenue à Jésus, le Roi !

Lire Matthieu 21.1-11, Jean 12.12-19 et Matthieu 26.3-5.

Symbole : Les rameaux (lesquels peuvent être remplacés par d’autres branches ou feuilles séchées, ou non ; vous pouvez aussi en découper dans du papier cartonné vert et marron).

Questions pour la discussion
  1. Comment honore-t-on les gens dans notre pays ?
  2. Pourquoi penses-tu que les gens ont honoré Jésus ?
  3. Est-ce que cela te dérange lorsque tu vois que quelqu’un d’autre reçoit l’attention que tu aimerais recevoir ?
  4. Qui cela a-t-il dérangé que Jésus reçoive toute cette attention ?
Concepts fondamentaux

Jésus a été acclamé comme Roi lorsqu’Il est arrivé à Jérusalem sur un ânon. Les gens de la foule ont étendu leurs vêtements sur le chemin et coupé des branches d’arbres pour en joncher la route. C’était la coutume de faire cela pour les gens très importants ou les membres de la royauté. Le comportement de la foule a excité la jalousie des dirigeants religieux, à tel point qu’ils se sont préparés à tuer Jésus.

Prophétie accomplie : Zacharie 9.9.

Un repas bien spécial

Lire Marc 14.12-26 et Luc 22.7-23.

Symbole : Un morceau de pain ou un peu de céréales.

Questions pour la discussion
  1. Que fait-on pour célébrer les occasions spéciales ?
  2. Quelle fête Jésus célébrait-Il avec Ses disciples ?
Concepts fondamentaux

C’est la coutume de passer du temps en famille ou avec des amis pour les anniversaires et les fêtes, souvent autour d’un repas. Avant son arrestation, Jésus a mangé un repas spécial avec Ses disciples pour célébrer la Pâque.

Pendant ce repas, Jésus a parlé du pain et du vin pour qu’ils se rappellent, après Sa mort, de Son corps et de Son sang donnés pour eux, parce que Jésus allait Se sacrifier sur la Croix. C’est parce que Jésus est mort pour nous que Dieu nous donne le pardon lorsque nous croyons en Son Fils.

Un cadeau si précieux

Lire Jean 12.1-8.

Symbole : Une petite bouteille de parfum (échantillon) ou d’huile d’olive.

Questions pour la discussion
  1. Que fait-on dans notre famille pour que quelqu’un sache qu’il est unique ?
  2. Qu’est-ce que Marie a fait pour que Jésus sache qu’elle pensait qu’Il était unique ?
  3. Qui n’a pas apprécié cela ?
  4. Pourquoi Jésus a-t-il dit que Marie L’avait « oint » ?
  5. Quelle tâche penses-tu que Jésus devait accomplir ?
  6. Est-ce que tes parents te confient parfois des travaux que tu préférerais ne pas avoir à faire ?
  7. Est-ce que tu les fais quand même ?
  8. Est-ce que tu penses que Jésus avait envie de mourir ?
Concepts fondamentaux

Pendant une fête à laquelle Jésus avait été invité, une femme est venue et a versé un parfum qui coûtait très cher sur la tête de Jésus. Elle l’a fait pour L’honorer, mais Judas s’est plaint que c’était du gaspillage et que le parfum aurait pu être vendu et l’argent donné aux pauvres.

Jésus a répondu à ceux qui ont critiqué ses actions de la laisser tranquille, et que le parfum de Marie devrait être réservé pour Sa sépulture (pour quand Il serait mort). À cette époque, c’était la coutume d’embaumer le corps d’un défunt avec des épices, du parfum et de l’huile avant de le mettre dans sa tombe.

L’huile faisait également partie du rituel spécial de « l’onction ». Une petite quantité d’huile était versée sur la tête de quelqu’un pour montrer qu’il avait été choisi pour accomplir une tâche en particulier. C’était en général réservé aux rois, aux prophètes et aux prêtres. Le mot Christ signifie « Oint ».

Jésus avait été envoyé par Dieu, Son Père, pour mourir sur la Croix afin de nous sauver de nos péchés. Jésus savait qu’Il allait être cloué à la Croix et mourir pour que nos péchés puissent être pardonnés. Il savait que c’était la tâche bien spéciale que Dieu Lui avait confiée. Il avait le pouvoir d’éviter cette mort cruelle, mais a choisi de l’affronter pour que nous puissions tous obtenir le pardon de nos péchés.

Trahi par un ami

Lire Matthieu 26.14-16.

Symbole : Monnaie.

Questions pour la discussion
  1. Cela t’est-il déjà arrivé qu’un ami soit méchant avec toi, ou dise qu’il ne voulait plus être ami avec toi ?
  2. Comment t’es-tu senti quand c’est arrivé ?
  3. Comment penses-tu que Jésus s’est senti lorsqu’un de Ses meilleurs amis a décidé de devenir Son ennemi ?
Concepts fondamentaux

Un des disciples de Jésus, Judas Iscariote, est allé trouver les prêtres dirigeants et leur a demandé ce qu’ils voudraient bien lui donner pour qu’il leur livre Jésus. Ils lui ont proposé 30 pièces d’argent. L’argent était plus important pour Judas que son amitié avec Jésus. Bien que Jésus ait fait preuve de beaucoup de bonté envers Judas, Judas n’a pas fait de même envers Jésus. Judas n’a pas été un ami fidèle.

Les dirigeants et les prêtres étaient jaloux de Jésus parce les gens Lui montraient l’honneur dû à un roi. Jésus est effectivement un roi ; c’est le roi des Juifs et Il veut aussi être le roi qui règne sur nos cœurs. Les dirigeants et les prêtres ne voulaient perdre ni leur position, ni leur pouvoir ; ils pensaient que c’est cela qui se passerait si tout le monde se mettait à suivre Jésus. Ils ont alors décidé de Le tuer. Ils L’ont accusé de beaucoup de crimes, y compris celui de déclarer être Dieu. Jésus ne s’est pas défendu. Cela les a mis encore plus en colère et ils n’en ont été que plus déterminés à Le tuer.

Prophétie accomplie : Zacharie 11.12.

Abandonné par un ami

Lire Marc 14.27-31 et Marc 14.66-72.

Symbole : Plume de coq ou petit coq en plastique.

Questions pour la discussion
  1. Est-ce que Jésus est ton ami ?
  2. Pierre était-il l’ami de Jésus ?
  3. Pourquoi Pierre a-t-il renié le Christ ?
  4. De quelles façons pouvons-nous renier le Christ ?
Concepts fondamentaux

Pierre était un homme au caractère fort et assuré. Jésus a même changé son nom de Simon à Pierre (ou « rocher »). Mais lorsque Jésus a été arrêté et les choses ont commencé à se gâter, même Pierre a commencé à prétendre qu’il ne Le connaissait pas, parce qu’il avait peur de ce que les gens auraient pu lui faire s’il admettait être un de Ses disciples. Trois fois, on a demandé à Pierre si Jésus était un de ses amis, et à chaque fois il a répondu qu’il ne Le connaissait pas du tout.

Après que Pierre a renié Jésus trois fois, il a entendu un coq chanter. C’est à ce moment que Pierre s’est souvenu qu’il avait affirmé à Jésus qu’il ne Le renierait jamais. Pierre a été très déçu de lui-même et a pleuré amèrement.

C’est facile pour nous de dire que Pierre a été « une poule mouillée », mais nous aussi, nous devons faire attention à ne pas renier notre amitié avec Jésus de la même façon que lui. On peut renier Jésus en choisissant de ne pas parler de Lui aux autres ou de ne pas dire que l’on croit en Lui.

Moqueries et tourments

Lire Marc 14.53-65 et Marc 15.6-20.

Symbole : Grand morceau de tissu pourpre ou violet et/ou couronne d’épines (peut être faite à partir d’une ou plusieurs tiges de rose).

Questions pour la discussion
  1. Comment les autres peuvent-ils te blesser ?
  2. Que ressens-tu lorsque les autres se moquent de toi (comme de ton nom par exemple) ?
  3. Que penses-tu que Jésus a ressenti lorsqu’on s’est moqué de Lui?
  4. Quel effet cela fait-il d’avoir une couronne d’épines comme celle-ci sur la tête ?
Concepts fondamentaux

Les soldats romains ont revêtu le Seigneur Jésus d’une robe pourpre et ont mis une couronne d’épines sur Sa tête. Ils se sont moqués de Lui et L’ont raillé en L’appelant Roi des Juifs. Ils L’ont roué de coups de bâton sur la tête.

Bien des gens ont affirmé des choses fausses à propos de Jésus, mais Celui-ci ne S’est même pas défendu. Mais lorsqu’on Lui a demandé s’Il était le Christ, le Fils de Dieu, Il a répliqué : « Je le suis. » On Lui a craché au visage et on L’a giflé.

Il existe deux sortes de douleur. La première est la douleur physique, comme de se faire mal quand on tombe. L’autre sorte de douleur, c’est la douleur émotionnelle : lorsqu’on nous blesse, et que notre cœur est triste à cause de la méchanceté des autres envers nous. Le Seigneur Jésus a connu ces deux sortes de douleur là.

Prophétie accomplie : Ésaïe 53.4-7.

Condamné à mourir crucifié

Lire Jean 19.17-27.

Symbole : Une petite croix (faite avec deux petits bouts de bois attachés avec un morceau de ficelle).

Questions pour la discussion
  1. Comment les criminels sont-ils punis de nos jours ?
  2. Comment les criminels étaient-ils punis à l’époque de Jésus ?
Concepts fondamentaux

De nos jours, les criminels sont enfermés en prison. Les pires peuvent être placés en isolement (c’est-à-dire qu’ils sont seuls dans leur cellule). Au temps de Jésus, les Romains mettaient souvent à mort des criminels en les clouant sur une croix. C’était aussi un avertissement pour les autres, pour les dissuader de devenir criminels à leur tour. Ces condamnés étaient souvent battus et on les forçait à porter leur propre croix jusqu’à l’endroit où ils étaient crucifiés. La crucifixion était réservée aux pires criminels. C’était une mort très pénible et douloureuse.

Puni à notre place

Lire Jean 19.16 et Jean 20.24-31.

Symbole : Clous.

Questions pour la discussion
  1. Est-ce que tu penses que tu pourrais offrir à quelqu’un de prendre sa punition à sa place ?
  2. Quelle est la pire punition à laquelle tu peux penser ?
  3. Quel effet penses-tu que cela fait d’avoir les mains et les pieds percés par des clous ?
Concepts fondamentaux

Le Seigneur Jésus nous a tellement aimés qu’Il a accepté de prendre cette punition à notre place, pour que nous ne soyons pas punis pour nos péchés. Lorsque Jésus a été crucifié et a souffert sur la Croix, Il a enduré pour nous la punition que nos péchés méritent. Nous méritons effectivement tous d’être punis pour nos péchés, mais Jésus a enduré cette épreuve pour nous.

Le partage du butin

Lire Luc 23.34 et Jean 19.23-24.

Symbole : Dés.

Questions pour la discussion
  1. À quoi servent les dés ?
  2. Dans quel but les soldats en ont-ils utilisés ?
Concepts fondamentaux

Les soldats se sont partagé les habits de Jésus entre eux, mais puisqu’un des vêtements était fait d’une seule pièce et avait de la valeur, ils ont décidé d’en faire l’objet d’un jeu pour voir qui le gagnerait.

Prophétie accomplie : Psaume 22.18-19.

Seulement par amour

Lire Luc 23.36-43.

Symbole : Une pancarte sur laquelle est écrit « Celui-ci est le Roi des Juifs. »

Questions pour la discussion
  1. Penses-tu que Jésus aurait pu descendre de la Croix, s’Il l’avait voulu ?
  2. Pourquoi penses-tu qu’Il ne l’a pas fait ?
  3. Est-ce que tu penses que Jésus aurait pu être tenté de descendre de la Croix pour prouver à tous qu’Il était bien Dieu ?
  4. Si Jésus avait choisi de descendre de la Croix et de ne pas mourir, est-ce que nos péchés pourraient quand même être pardonnés ?
  5. Lequel des deux criminels a reçu le pardon ? Pourquoi ?
Concepts fondamentaux

Lorsqu’un criminel était crucifié, la liste de ses crimes était inscrite sur une pancarte et placée au-dessus de sa tête pour que les gens sachent pourquoi il avait été condamné. Sur la pancarte qui était au-dessus de la tête de Jésus, on pouvait lire « Celui-ci est le Roi des Juifs. » Bien des personnes sont passées devant et se sont moquées de Lui, en disant : « S’Il est vraiment l’Élu de Dieu, alors qu’Il Se sauve Lui-même ! »

Un des criminels qui a été crucifié avec Jésus Lui a dit : « Si tu es le Christ, alors sauve-Toi Toi-même et sauve-nous ! » Mais l’autre lui a répondu : « Ne crains-tu pas Dieu ? Pour nous, ce n’est que justice ; nous payons pour ce que nous avons fait, mais Lui n’a rien fait de mal. » Et ensuite, il a demandé à Jésus, « Souviens-toi de moi quand tu viendras régner. » Jésus lui a répondu : « Aujourd’hui, tu seras avec moi au paradis. » Peut-être que Jésus a été tenté de descendre de la Croix pour prouver qu’Il était bien l’Élu de Dieu, mais s’Il l’avait fait, Il n’aurait pas complété la tâche très importante de mourir pour obtenir le pardon de nos péchés.

Une boisson aigre

Lire Jean 19.28-30.

Symbole : Une éponge ou du vinaigre pour goûter.

Questions pour la discussion
  1. Que dis-tu lorsque tu souhaites boire quelque chose ?
  2. Quelle est ta boisson préférée ?
  3. Qu’ont-ils donné à boire à Jésus ?
Concepts fondamentaux

Lorsque Jésus a demandé à boire, les soldats Lui ont donné du vinaigre. Jean a écrit que Jésus, sachant tout ce qui allait se passer et que les prophéties de l’Ancien Testament seraient accomplies, a demandé à boire alors qu’Il était sur la Croix.

Prophétie accomplie : Psaumes 22.15 et Psaumes 69.22.

La certitude de sa mort

Lire Jean 19.31-37.

Symbole : Une lance (vous pourriez utiliser un cure-dent en plastique ou en bois).

Questions pour la discussion
  1. Que faisaient habituellement les soldats pour que les crucifiés meurent plus rapidement ?
  2. Qu’est-ce que les soldats ont fait pour s’assurer que Jésus était bien mort ?
Concepts fondamentaux

Les soldats avaient pour habitude de briser les jambes des crucifiés pour qu’ils meurent plus vite, mais ils n’ont pas eu à briser celles de Jésus, car Il était déjà mort. Pour s’assurer qu’Il était bel et bien mort, ils ont percé Son côté avec une lance. Il est écrit dans l’Ancien Testament qu’aucun des os de Jésus ne serait brisé, mais qu’Il serait percé. Tout s’est accompli selon les prophéties de l’Écriture.

Prophéties accomplies : Psaume 34.19-20, Zacharie 12.10 et Ésaïe 53.5.

Miracles

Lire Matthieu 27.51-54.

Symbole : Morceau de tissu déchiré en deux.

Questions pour la discussion
  1. Si un jour tu étais dans une église et qu’un rideau se déchirait soudainement en deux alors que personne n’était aux alentours, qu’en penserais-tu ? Et si en plus, il y avait des éclairs et un tremblement de terre ? Et que des tombeaux s’ouvraient d’eux-mêmes et que des gens qui étaient morts se mettaient à en sortir et, revenus à la vie, à se promener dans les environs ? Que penserais-tu de cela ?
  2. Qu’aurais-tu ressenti si tu avais été le centurion qui avait la garde de Jésus quand Il était sur la Croix ?
  3. Qu’est-ce que tu fais, la nuit, quand tu as peur, ou que tu as faim ou que tu as besoin de quelque chose ?
  4. Qui vient t’aider à n’importe quelle heure de la nuit ?
  5. Qui d’autre peut te réconforter ou t’aider ?
Concepts fondamentaux

Dans le Temple, il y avait deux pièces : la pièce extérieure, qui était la cour des prêtres, et le Saint des saints, où seul le grand prêtre pouvait pénétrer, une seule fois par année, pour y brûler l’encens sacré et pour y faire aspersion du sang d’un sacrifice très spécial. Il y avait un rideau pour séparer les deux pièces.

Lorsque Jésus est mort, ce n’était plus nécessaire que le grand prêtre se rende dans le Saint des saints et y fasse l’aspersion du sang du sacrifice qu’Israël présentait une fois par an pour le pardon des péchés de tout le peuple. C’est ce que Jésus venait d’accomplir en mourant sur la Croix ! C’est Lui qui est devenu ce sacrifice !

Lorsque le Rideau s’est déchiré en deux, il y a eu des tremblements de terre et des rochers se sont fendus. Les gens qui avaient honoré Dieu de leur vivant sont sortis de leurs tombeaux et ont commencé à se promener. C’était extraordinaire ! Le centurion qui avait la garde de Jésus pendant qu’Il était sur la Croix en a été terrifié et s’est exclamé : « Assurément, cet homme était le Fils de Dieu ! » Oui, Jésus était et est le Fils de Dieu. Nous savons que nous pouvons nous tourner vers Dieu en tout temps et Lui demander de l’aide lorsque nous avons peur.

Un tombeau vide !

Lire Matthieu 27.57-28.4 et Marc 16.1-15

Symbole : Un rocher ou des bandelettes de lin.

Questions pour la discussion
  1. Qui a déplacé l’énorme pierre qui fermait le tombeau de Jésus ?
  2. Pourquoi ce rocher avait-il été déplacé ?
  3. Où Jésus est-Il allé ?
  4. Qu’a pensé Marie ? Qu’aurais-tu pensé si tu avais été à sa place ?
Concepts fondamentaux

À l’époque de Jésus, quand les gens mourraient, ils étaient mis dans des tombeaux et on les enveloppait de bandelettes de lin. L’entrée des tombeaux était fermée avec de très grosses pierres, et ils en avaient placé une devant celui de Jésus. Elle était tellement énorme qu’il aurait été impossible de la déplacer à moins que plusieurs hommes le fassent ensemble.

Lorsque Marie est arrivée au tombeau où avait été placé le corps de Jésus, le dimanche matin, elle a découvert qu’on avait déplacé cette pierre. Elle a aussi vu un ange qui se trouvait là. Les soldats qui gardaient le tombeau ont eu tellement peur qu’ils en tremblaient ! Lorsque Marie a regardé à l’intérieur du tombeau, elle n’a vu que les bandelettes de lin avec lesquelles ils avaient enveloppé le corps de Jésus. Mais Jésus, Lui, n’était plus là !

De merveilleuses nouvelles

Lire Matthieu 28.5-10 et Luc 24.6-12.

Symbole : Une figurine d’ange.

Questions pour la discussion
  1. Quel effet cela te ferait-il de voir un ange ? Comment penses-tu que tu réagirais ?
  2. Que penses-tu que les femmes se sont dit en courant pour aller annoncer la nouvelle aux disciples ?
Concepts fondamentaux

Lorsque les femmes sont allées au tombeau pour s’occuper du corps de Jésus, elles l’ont trouvé vide. Elles ont vu les bandelettes de lin par terre, mais Jésus n’était pas là ! Elles ont aussi vu un ange qui se trouvait là. L’ange leur a dit que Jésus était ressuscité des morts, exactement comme Il le leur avait annoncé à l’avance.

Prophétie accomplie : La résurrection de Jésus, qu’Il a Lui-même annoncée : Matthieu 20.17-19.

 

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Paroles de bénédiction

  • Bravo __________!  Tu pardonnes comme le Seigneur t’a pardonné !
  • Tu sais, _________, pardonner aux autres peut parfois être difficile, mais Dieu aime vraiment quand nous nous pardonnons les uns les autres.
  • C’est très bien, __________, je vois que tu ne permets pas à l’amertume de prendre racine dans notre famille/tes amitiés.
  • Félicitations, ________, tu t’es bien débrouillé face à ce que __________ vient de te faire.  Tu as bien partagé l’amour de Dieu.
  • C’est bien d’avoir pardonné à _______ aussi vite, car lorsque nous pardonnons rapidement, notre vie est bien plus agréable.
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Discipline créative

Quand c’est dur de pardonner

Fondement biblique

Lire Matthieu 6.14-15 avec votre enfant ou Hébreux 12.14-15.

Des idées pour discipliner

Pour aider votre enfant à comprendre à quel point il peut être difficile de se débarrasser du ressentiment lorsqu’on lui a permis de prendre racine, emmenez-le faire un tour dans le jardin ou dans un parc où vous pourrez essayer de déraciner des mauvaises herbes. Les pissenlits représentent un excellent choix, car leurs racines sont très profondes et difficiles à déterrer.

Expliquez à votre enfant que lorsque nous refusons de pardonner, de profonds sentiments de ressentiment et de colère peuvent se loger dans nos cœurs. C’est pourquoi Dieu veut que nous fassions nous aussi preuve de grâce et que nous pardonnions comme Il l’a fait Lui-même à notre égard.|

Vous pouvez aussi discipliner un enfant qui refuse de pardonner en lui faisant tenir une boule de neige ou un glaçon dans la main pendant 15 à 30 secondes. Expliquez-lui que quand on refuse de pardonner, la froideur qui envahit notre cœur nous amène à nous « priver de la grâce de Dieu. » Jésus veut que Son amour règne dans nos cœurs pour que nous puissions pardonner aux autres nous aussi. Permettez ensuite à l’enfant de passer sa main sous l’eau tiède. Expliquez-lui que, tout comme l’eau chaude réchauffe sa main, pardonner les autres réchauffe notre cœur et le cœur de celui à qui l’on pardonne.

Paroles d’encouragement

Vous pouvez lire Marc 11.25 avec votre enfant : « Et lorsque vous êtes debout pour prier, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez-lui afin que votre Père céleste vous pardonne aussi vos fautes »,  et prier ensuite avec lui et demander à Dieu de lui donner un cœur qui pardonne facilement.

Versets à mémoriser

Néhémie 9.17 « …Mais toi, tu es un Dieu prêt à pardonner, tu fais grâce, tu es rempli de compassion, lent à la colère et riche en bonté, et tu ne les as pas abandonnés. »

Psaumes 86.5 « Oui, tu es bon, Seigneur, tu pardonnes, tu es plein d’amour pour tous ceux qui font appel à toi.»

Psaumes 103.2-3 « Bénis l’Eternel, mon âme, et n’oublie aucun de ses bienfaits! C’est lui qui pardonne toutes tes fautes, qui guérit toutes tes maladies. »

Psaumes 145.8 «  L’Eternel fait grâce, il est rempli de compassion, il est lent à la colère et plein de bonté. »

Michée 7.18 « Quel Dieu est semblable à toi? Tu pardonnes la faute, tu oublies la révolte du reste de ton héritage.»

Michée 7.19 «Il aura encore compassion de nous, il piétinera nos fautes. Tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés. »

Matthieu 6.14-15 « Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes. »

Marc 11.25 « Et lorsque vous êtes debout pour prier, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez-lui afin que votre Père céleste vous pardonne aussi vos fautes. »

Luc 6.37 « … pardonnez et vous serez pardonnés.. »

Luc 11.4 « Pardonne-nous nos péchés, car nous aussi nous pardonnons à toute personne qui nous offense. »

Luc 17.3 « Faites bien attention à vous-mêmes. Si ton frère a péché [contre toi], reprends-le et, s’il reconnaît ses torts, pardonne-lui. »

Luc 24.47 « …et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. »

Éphésiens 1.7 « En lui, par son sang, nous sommes rachetés, pardonnés de nos fautes, conformément à la richesse de sa grâce. »

Éphésiens 4.31 « Que toute amertume, toute fureur, toute colère, tout éclat de voix, toute calomnie et toute forme de méchanceté disparaissent du milieu de vous. »

Éphésiens 4.32 « Soyez bons et pleins de compassion les uns envers les autres; pardonnez-vous réciproquement comme Dieu nous a pardonné en Christ.»

Colossiens 1.13-14 « Il nous a arrachés au pouvoir des ténèbres et nous a fait passer dans le royaume de son Fils bien-aimé. Etant unis à lui, nous sommes délivrés, car nous avons reçu le pardon des péchés. »

Colossiens 3.13 « Supportez-vous les uns les autres et, si l’un de vous a une raison de se plaindre d’un autre, pardonnez-vous réciproquement. Tout comme Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi. »

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Prière des parents

Modèle de prière

Seigneur, tout ce que Tu veux, Tu le fais, dans les cieux et sur la terre, dans les mers et dans tous les abîmes (Psaume 135.6). C’est par Ton immense puissance que Tu calmes les vents et la mer et insuffles la confiance dans les coeurs craintifs (Matthieu 8.26-27). Puisque Tu nous as promis de marcher Toi-même devant nous, d’être avec nous, sans jamais nous délaisser ou nous abandonner, nous proclamons en toute confiance « Alléluia! Car le Seigneur, notre Dieu tout-puissant, a établi son règne » (Deutéronome 31.8, Apocalypse 19.6 ).

Je prie pour que, lorsque je suis confronté aux difficultés de la vie quotidienne, mes enfants voient en moi une foi et une confiance inébranlables en Toi, Seigneur. Je Te demande qu’ils ne me voient jamais compter sur mes propres forces, mais plutôt sur la Tienne. Rappelle-moi Ta parole lorsque je me sens faible : « Toi qui es ma force, c’est pour toi que je veux chanter, car Dieu, mon Dieu si bon, est ma forteresse. » (Psaume 59.18). Tu nous dis que nous n’avons pas à lutter contre des êtres de chair et de sang, mais contre les puissances, contre les autorités, contre les pouvoirs du monde des ténèbres, et contre les esprits du mal dans le monde céleste (Éphésiens 6.12). Rappelle-moi, je T’en prie, de saisir toutes les armes que Tu me fournis : le casque du salut, la ceinture de vérité, la cuirasse de droiture, l’épée de l’Esprit qui est la Parole de Dieu et le bouclier de la foi, avec lequel je peux éteindre toutes les flèches enflammées de l’esprit du mal. Je Te demande aussi de mettre à mes pieds le zèle que donne la Bonne Nouvelle de la paix. Et que Ton Esprit me guide en sagesse lorsque je prie pour ma famille (Éphésiens 6.13-18).

Lorsque les défis de la vie font trembler les fondations mêmes sur lesquelles _________ s’appuie, je Te prie qu’il/elle ait une confiance absolue en Toi. Durant ces périodes difficiles, aide-le/la à se rappeler et à citer Psaume 118.6-7 : « L’Eternel est pour moi, je n’ai peur de rien: que peuvent me faire des hommes? L’Eternel est mon secours. » Lorsque Satan incite _________ à compter sur lui/elle-même ou sur d’autres, au lieu de compter sur Toi, rappelle-lui que « Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de mettre votre confiance dans l’homme » (Psaume 118.8). Je Te prie qu’il/elle demeure ferme dans la foi, fasse preuve de courage et soit fort, agissant avec amour en tout temps (1 Corinthiens 16.13-14). Je songe parfois au courage incroyable dont Jésus a fait preuve en faisant face à sa mort sur la croix… Je Te prie de développer en _________ une foi qu’il/elle sera prêt à défendre, qu’il/elle ne pourra s’empêcher de partager et qu’il/elle ne niera jamais, quelles qu’en soient les conséquences. Seigneur, affermis _________ Toi-même, jusqu’à la fin, pour qu’il/elle soit irréprochable au jour de notre Seigneur Jésus Christ. Toi qui l’as appelé à vivre en communion avec Ton Fils, notre Seigneur Jésus Christ, montre-lui que Tu es fidèle à Tes promesses (1 Corinthiens 1.8-9).

Je te demande de rappeler à notre famille que nous pouvons faire preuve de courage et de force, puisque Tu viendras à notre secours et Tu combattras pour nous (2 Chroniques 32.7-8). Merci d’être fidèle à Ton alliance en témoignant de l’amour pour mille générations envers ceux qui T’aiment et obéissent à Tes commandements (Deutéronome 7.9). Nous Te demandons, par Ton Esprit, de nous remplir d’une foi inébranlable en qui Tu es et en ce que Tu peux accomplir, alors que Tu nous appelles à faire quelque chose qui demande du courage, afin que nous puissions le faire avec confiance. Amen.

Prier en s’inspirant de la Bible

Lisez et priez en vous inspirant d’un ou plusieurs versets sous chaque section. Lorsque vous priez, soyez à l’écoute de Dieu et permettez-Lui de vous guider par Son Esprit-Saint.

Tourner les yeux vers Dieu

Commencez par remerciez Dieu pour Sa fidélité, Sa puissance et Son Amour.

Deutéronome 7.9 | 2 Samuel 22.31-37 | 2 Chroniques 32.6-8 | Psaume 59.17-18 | 1 Corinthiens 1.8-99

Chercher dans son cœur

Reconnaissez les moments, les lieux et les raisons pour lesquels vous manquez de courage.

Psaume 49.13-14 | Psaume 78.19-22 | Proverbes 28.26 | Ésaïe 31.1 | Jérémie 17.5-6

Être reconnaissant

Remerciez Dieu pour les manières dont vous avez vu votre famille faire preuve de courage.

Requêtes pour votre famille

Demandez à Dieu de vous aider, vous et votre famille, à vivre courageusement, en plaçant votre confiance en Lui.

Psaume 86.2 | Psaume 143.8 | Ésaïe 26.3-4 | 1 Corinthiens 16.13-14 | 2 Thessaloniciens 3.3

 

Bricolage

La houlette du berger

Instructions

Vous aurez besoin des matériaux suivants :

un bâton ou une branche d’arbre (d’une longueur de 50 à 60 cm [20 à 24 po] et d’un diamètre de 1.5 à 2 cm [1/2 à 1 po])
un vieux couteau de cuisine ou une lame émoussée
une petite scie à main
du papier de verre
des stylos-feutres
du ruban ou un lacet en cuir

  • Si vous utilisez un bâton, aidez votre enfant à en sabler les deux bouts afin d’éviter les échardes. Si vous utilisez une branche d’arbre, enlevez-en l’écorce à l’aide de la lame émoussée. Essayez d’éviter de marquer la surface propre qui se trouve sous l’écorce.
  • Laissez la branche sécher toute la nuit avant de tenter de la sabler ou de la décorer.
  • Une fois que votre « houlette » est sèche, aidez votre enfant à en sabler les parties rugueuses et inscrivez-y votre verset à mémoriser favori. Décorez-le ensuite à l’aide de stylos-feutres ou de peinture.
  • Faites une entaille près de l’une des extrémités à l’aide de la scie. Enroulez-y le ruban ou le lacet en prenant soin de laisser pendre les bouts pour créer un gland. Si vous le désirez, vous pouvez utiliser de la colle chaude (fusil à colle) pour fixer le ruban en place solidement.

Pendant que votre enfant décore sa houlette, racontez-lui comment les bergers utilisaient la leur au temps de Jésus. Voici quelques suggestions pour vous aider à amorcer cette discussion :

Quand les bergers emmenaient paître leur troupeau, c’était comme s’ils partaient faire une longue randonnée avec leurs animaux. Ils ne voulaient rien porter de trop lourd, alors ils n’apportaient que le strict nécessaire. L’un des objets essentiels qu’ils amenaient avec eux était la houlette. C’était une sorte de bâton au bout recourbé qu’ils utilisaient pour diriger, attraper, retenir, et aussi protéger leurs brebis. En effet, si un animal féroce tentait d’attaquer une petite brebis, le berger pouvait la défendre avec son bâton. Puisqu’il n’y avait pas d’enclos pour les moutons au temps de la Bible, le berger et ses moutons se promenaient partout à travers la campagne. Si un des moutons tentait de s’éloigner du troupeau, les bergers utilisaient leur houlette pour l’attraper, le retenir, ou le corriger au besoin.

Demandez à votre enfant de prendre soin de son troupeau d’animaux en peluche à l’aide de sa houlette. Choisissez l’un des animaux pour jouer le rôle d’un ours ou d’un loup féroce. Laissez votre enfant protéger son troupeau en utilisant sa houlette avec douceur. Chaque fois que votre enfant l’utilise, profitez de l’occasion pour redire avec lui son verset à mémoriser.

Passages bibliques correspondants

Psaume 23.4 « Même quand je marche dans la sombre vallée de la mort, je ne redoute aucun mal car tu es avec moi. Ta conduite et ton appui: voilà ce qui me réconforte. »

Psaume 91.14 « Puisqu’il est attaché à moi, je le délivrerai; je le protégerai, puisqu’il connaît mon nom. »

Ésaïe 40.11 « Pareil à un berger, il s’occupera de son troupeau, il prendra les agneaux dans ses bras et les portera contre sa poitrine; il conduira les brebis qui allaitent. »

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Prière des enfants

Modèles de prière

Cher Dieu, je sais que Tu m’aideras à être fort et courageux, même lorsque j’ai peur. Amen.

Cher Dieu, je Te remercie d’avoir promis de marcher Toi-même devant moi et de toujours être avec moi, sans jamais me délaisser ni m’abandonner (Deutéronome 31.8). Amen.

Cher Dieu, c’est diffcile pour moi de faire preuve de bravoure en ce moment. Je Te prie de m’aider à me rappeler que Tu prendras soin de moi et que Tu m’aideras à faire preuve de courage. Amen.

Cher Dieu, quand j’ai peur, rappelle-moi de mettre ma confiance en Toi et non en moi-même. Amen.

Cher Dieu, donne-moi le courage de crier comme Néhémie l’a fait : « Notre Dieu combattra pour nous ! » (Néhémie 4.14). Amen.

Cher Dieu, lorsque j’ai peur, je Te prie de m’aider à me rappeler que Tu es grand et redoutable, et que Tu combattras pour moi (Néhémie 4.8). Amen.

Cher Dieu, je Te prie de me rappeler qu’avec Ton aide, même les petits peuvent accomplir de grandes choses ! Amen.

Cher Dieu, j’aimerais mieux ne pas avoir à_____________ (nommez la situation qui fait peur à votre enfant,  comme aller au sous-sol). Accompagne-moi, s’il te plaît, et donne-moi du courage.

Prier en s’inspirant de la Bible

Vous pouvez lire quelques uns de ces passages de la Bible et aider vos enfants à prier en se basant sur un ou deux versets. Encouragez les à écouter Dieu et à permettre à Son Esprit-Saint de guider leurs prière.

Tourner les yeux vers Dieu

Commence par remercier Dieu d’être un Dieu fidèle, puissant et plein d’amour.

Deutéronome 7.9 | 2 Samuel 22.31-34 | Psaume 59.17

Chercher dans son cœur

Reconnais les moments et les raisons où tu manques de courage.

Psaume 78.19-22 | Proverbes 28.26 | 1 Pierre 5.7

Être reconnaissant

Remercie Dieu pour les les manières dont tu as vu ta famille faire preuve de courage.

Requêtes personnelles

Demande à Dieu qu’Il t’aide à Lui faire confiance et à être courageux.

Jérémie 17.7 | 1 Corinthiens 16.13-14 | 2 Thessaloniciens 3.3

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Histoires de la Bible

Se fier à une personne ou à Dieu ?

Lire 2 Chroniques 16 et Psaume 146.3-6

Questions pour la discussion
  1. Est-il plus facile de se fier à quelque chose de visible ou d’invisible ?
  2. Qui est le plus fort, un être humain ou Dieu ?
  3. Est-ce qu’une immense armée de soldats est plus forte que Dieu ?
  4. Est-ce qu’il existe quelque chose ou quelqu’un de plus fort que Dieu ?
  5. Pourquoi quelqu’un choisirait-il de faire confiance à une personne plutôt qu’à Dieu ?
  6. Peux-tu penser à une raison pour laquelle Asa faisait confiance à une armée plutôt qu’à Dieu ?
  7. Pourquoi penses-tu qu’Asa ne s’est pas tourné vers Dieu même lorsqu’il était gravement malade ?
  8. Lire Psaumes 40.5 et 146.3-6. À qui la Bible nous dit-t-elle de faire confiance ?
  9. À quel moment es-tu tenté de te fier à des gens plutôt qu’à Dieu ?
Concepts fondamentaux

Asa, le roi de Juda, et Baécha, le roi d’Israël, étaient en guerre. À cette époque-là, Ben-Hadad, le roi de Syrie, avait fait une alliance avec Israël. Mais Asa offrit à Ben-Hadad de l’argent pour
« changer de camp » et aider Juda au lieu d’aider Israël. Ben-Hadad accepta et commença à aider Juda à envahir des villes israélites. Les Israélites cessèrent alors leur projet de reconstruction (peut-être ont-ils dû arrêter la reconstruction pour pouvoir protéger leurs villes).

C’est à ce moment qu’un prophète nommé Hanani vint parler au roi Asa pour lui dire qu’il avait été insensé de se fier à des armées plutôt qu’à l’Éternel. Hanani lui fit remarquer que Dieu l’avait autrefois aidé à combattre deux autres puissantes armées : les Éthiopiens et les Libyens. Le prophète lui déclara : « Et cependant l’Éternel les a livrés entre tes mains, parce que tu t’étais appuyé sur Lui. Car l’Éternel étend Ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à Lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des
guerres » (2 Chroniques 16.8-9).  Asa est ensuite tombé gravement malade. Toutefois, même pendant sa maladie, il ne s’adressa toujours pas à l’Éternel, mais seulement aux médecins. Il mourut deux ans plus tard.

C’est facile d’être tenté de faire confiance à des gens qui sont visibles, plutôt qu’à Dieu qui est invisible, mais la Bible nous enseigne clairement que ceux qui Lui font confiance seront bénis.

Passages bibliques correspondants

Psaume 40.5 « Heureux l’homme qui place sa confiance en l’Eternel et qui ne se tourne pas vers les orgueilleux et les menteurs! »

Psaume 146.3-6 « Ne placez pas votre confiance dans les grands, dans les hommes qui sont incapables de sauver. Leur souffle s’en va, ils retournent à la terre et leurs projets meurent avec eux. Heureux celui qui a pour secours le Dieu de Jacob, qui met son espoir en l’Eternel, son Dieu! Il a fait le ciel et la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve; il protège éternellement la vérité. »

Un grand Dieu pour un petit garçon

Lire 1 Samuel 17

Si vos enfants connaissent très bien l’histoire de David et Goliath, vous pouvez aussi leur raconter une histoire moderne se rapprochant de celle de la Bible. Par exemple, Goliath pourrait être une brute qui vient au parc chaque jour pour faire peur aux enfants en leur disant des choses méchantes et David, un enfant faisant preuve d’assez de courage pour aller voir la mère de cette brute et lui expliquer la situation.

Questions pour la discussion
  1. Qui était Goliath ?
  2. Comment Goliath mettait-il les Israélites au défi chaque jour ?
  3. Pourquoi tout le monde avait-il peur de se battre contre lui ?
  4. Qui était David ?
  5. Pourquoi David pensait-il être capable d’affronter le géant alors qu’aucun soldat israélite n’était assez courageux pour le faire ?
  6. Que voulait dire David par « les armées du Dieu vivant » ?
  7. Qu’est-ce que Saul a répondu à David lorsque ce dernier a proposé d’affronter le géant ?
  8. Quelle a été la réponse de David ?
  9. Est-ce que l’assurance de David se fondait sur ses propres forces, ou sur celle de Dieu ?
  10. Comment David a-t-il répondu aux moqueries de Goliath ?
  11. Qui a gagné la bataille ?
  12. À quelle sorte de batailles dois-tu faire face chaque jour ?
  13. Peux-tu compter sur tes propres forces pour gagner ces batailles ?
  14. Qui est assez fort pour t’aider à gagner la guerre contre le péché ?
Concepts fondamentaux

Les Israélites étaient en guerre contre les Philistins. Ces derniers leur ont lancé un défi : que l’issue de la bataille soit  décidée par un combat entre un seul soldat israélite et l’imposant soldat philistin appelé Goliath, plutôt que par un combat traditionnel entre les deux armées. Jour après jour, l’armée philistine envoyait Goliath se moquer de l’armée israélite en demandant si quelqu’un oserait l’affronter. Mais tous les Israélites avaient peur de se battre contre lui.

Puis un jour, un jeune berger nommé David est venu sur le champ de bataille pour apporter des vivres à ses grands frères qui étaient des soldats israélites. Lorsqu’il entendit Goliath se moquer de l’armée israélite, il s’informa de la situation. On emmena alors David voir Saül, le roi d’Israël. David annonça à Saül qu’il était prêt à affronter Goliath. Saül doutait de ses capacités à affronter un tel adversaire, mais David le rassura en lui expliquant qu’il avait déjà affronté et tué lion et ours pour protéger son troupeau. « L’Eternel m’a délivré de la griffe du lion et de la patte de l’ours, et il me délivrera aussi de ce Philistin » (1 Samuel 17.37).

Saül offrit son armure à David, mais elle était trop grande pour lui. Alors David ne prit que sa fronde et quelques cailloux lisses pour affronter le géant. En le voyant s’approcher, Goliath se moqua de lui. Mais David répliqua : « Tu marches contre moi avec l’épée, la lance et le javelot; moi, je marche contre toi au nom de l’Eternel, le maître de l’univers, au nom du Dieu de l’armée d’Israël que tu as insultée. Aujourd’hui l’Eternel va te livrer entre mes mains. » (1 Samuel 17.45-46). David mit un caillou dans sa fronde. Puis, le lançant en direction de Goliath, l’atteignit en plein front. Le puissant géant s’écroula alors sur le sol. Les Philistins, voyant que leur héros était mort, prirent la fuite. David s’était fié à Dieu et Celui-ci lui donna la victoire.

Chaque jour, nous devons mener nos propres batailles contre la tentation. Voici quelques façons dont les enfants peuvent être tentés : désobéir à leurs parents, se plaindre lorsque les choses ne vont pas à leur goût, refuser de partager ou se moquer d’un frère ou d’une sœur. Tout comme Goliath était l’ennemi de l’armée d’Israël, Satan est le nôtre. La Bible nous dit que Satan est comme un lion qui rôde, cherchant quelqu’un à dévorer. Si nous demandons l’aide de Dieu pour résister à la tentation, Il peut nous donner la même sorte de victoire qu’Il a accordée à David. Mais si nous nous fions à nos propres forces, il nous sera bien plus difficile d’avoir le courage de choisir le bien au lieu du mal.

Passage biblique correspondant

1 Pierre 5.8 « Soyez sobres, restez vigilants: votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer. »

Mieux qu’une bouée de sauvetage

Lire Matthieu 14.22-33

Questions pour la discussion
  1. Pourquoi les apôtres avaient-ils peur ?
  2. Qu’est-ce que Jésus leur a dit ?
  3. Qu’est-ce que Pierre a dit et fait ?
  4. Était-il capable de marcher sur l’eau ?
  5. Quand a-t-il commencé à couler ?
  6. Quand es-tu tenté de te fier à toi-même plutôt qu’à Dieu ?
Concepts fondamentaux

Les apôtres de Jésus se trouvaient sur le lac lorsqu’une tempête se déchaîna au milieu de la nuit. Leur barque se faisait secouer par les vagues et entraîner loin de la rive par les vents forts. Les apôtres avaient peur de la tempête, qui était terrible, mais ils eurent encore plus peur lorsqu’ils virent quelqu’un s’approcher de la barque en marchant sur les eaux. Ils se mirent à pousser des cris de frayeur parce qu’ils ne savaient pas ce qui s’approchait d’eux.

Mais Jésus les interpella : « Rassurez-vous, c’est moi. N’ayez pas peur! » (Matthieu 14.27). Alors Pierre lui dit : « Seigneur, si c’est toi, ordonne-moi d’aller vers toi sur l’eau » (Matthieu 14.28). Jésus lui dit de venir. Au début, Pierre pouvait marcher sur l’eau, mais dès qu’il remarqua à quel point le vent soufflait fort, il prit peur et commença à s’enfoncer dans l’eau.

Jésus ne laissa pas Pierre se noyer ; Il lui tendit la main et le saisit. Ensuite, Jésus demanda à Pierre pourquoi il avait douté. Après qu’ils soient tous deux montés dans la barque, le vent tomba et les disciples se prosternèrent devant Jésus en disant : « Tu es vraiment le Fils de Dieu » (Matthieu 14.33).

Pierre fut capable de marcher sur l’eau jusqu’à ce qu’il cesse de faire confiance à Jésus et qu’il prenne peur. Dans la vie, il y a des moments où nous sommes tentés de faire de même. En effet, nous agissons comme Pierre quand nous oublions la présence constante de Dieu et que la situation dans laquelle nous nous trouvons (obscurité, situation incertaine) ou que la chose que nous voyons (chien ou guêpe) nous effraie. C’est dans ces moments d’angoisse ou de panique que nous devons nous souvenir de prier et de faire confiance à Dieu.

Un navire secoué par le vent

Lire Actes 27.13-26

Questions pour la discussion
  1. As-tu déjà été à bord d’un bateau lors d’une tempête ?
  2. Peux-tu imaginer comment ce serait ? Comment le décrirais-tu ?
  3. À quoi penserais-tu ?
  4. Peux-tu penser à autre chose d’aussi effrayant qu’une tempête ?
  5. Quelle sorte de tempête y avait-il dans l’histoire ?
  6. Comment Dieu a-t-Il encouragé Paul ?
  7. Qu’est-ce que Paul a dit à ceux qui naviguaient avec lui pour les encourager ?
  8. Comment peut-on décourager les autres quand ils ont peur ?
  9. Que pouvons-nous faire ou dire pour encourager les autres ?
  10. Tes parents te gardent en sécurité, mais qui d’autre veille sur toi ?
Concepts fondamentaux

Paul avait été fait prisonnier parce qu’il parlait de Jésus aux foules. Il fut décidé que Paul se rendrait en bateau de Césarée à Rome, où il serait jugé. Paul devait voyager sur un gros navire avec d’autres prisonniers ainsi qu’avec des matelots. Après qu’ils aient parcouru une courte distance, la température n’étant plus clémente, Paul conseilla à l’équipage du bateau de passer l’hiver au port de Crête. Mais ils n’écoutèrent pas ses conseils et continuèrent leur voyage.

Il y eut alors une tempête comparable à un ouragan. Le vent était tellement puissant que les matelots enroulèrent des cordes autour du bateau pour l’empêcher de se briser. La mer déchaînée et les vents persistèrent si longtemps que plusieurs hommes à bord perdirent l’espoir d’être secourus ou même de survivre. Malgré la tempête, Paul dit aux gens de prendre courage et de croire que Dieu viendrait à leur secours puisqu’un ange était venu le visiter durant la nuit et lui avait dit qu’il serait jugé à Rome. La quatorzième nuit de la tempête – deux semaines après qu’elle ait commencé ! – les matelots sentirent finalement qu’ils approchaient de la terre ferme. Ils avaient atteint une île. Quoique le bateau fût détruit, tous les gens à bord s’en sortirent sains et saufs. Dieu les avait donc secourus comme l’avait annoncé l’ange.

Le mot courage fait partie du mot « encourager », mais aussi du mot « décourager ». Nous pouvons encourager les autres en leur disant que Dieu se soucie de leur sort. Nous pouvons nous décourager nous-mêmes en ne faisant plus confiance à Dieu et en pensant à quel point la situation dans laquelle nous nous trouvons est effrayante. Nous pouvons aussi décourager les autres en parlant de choses qui leur font peur ou en nous moquant d’eux, au lieu de les encourager à mettre leur confiance en Dieu et à se souvenir de Son amour envers eux. La Bible nous dit que nous pouvons être sûrs que Dieu se soucie de nous.

Passage biblique correspondant

Psaume 121.1-8 « Je lève mes yeux vers les montagnes: d’où me viendra le secours? Le secours me vient de l’Eternel, qui a fait le ciel et la terre. Qu’il ne permette pas à ton pied de trébucher, qu’il ne somnole pas, celui qui te garde! Non, il ne somnole pas, il ne dort pas, celui qui garde Israël. L’Eternel est celui qui te garde, l’Eternel est ton ombre protectrice, il se tient à ta droite. Pendant le jour le soleil ne te fera pas de mal, ni la lune pendant la nuit. L’Eternel te gardera de tout mal, il gardera ta vie. L’Eternel gardera ton départ et ton arrivée dès maintenant et pour toujours. »

Le Grand Patron est de notre côté

Lire 2 Chroniques 32.1-22

Questions pour la discussion
  1. Comment Ézéchias a-t-il encouragé les gens qui s’apprêtaient à se battre ?
  2. Comment les choses se sont-elles passées ?
  3. Qu’est-ce qu’Ézéchias a fait d’autre ?
  4. Qu’est-ce que Dieu a fait pour eux ?
  5. Quelle sorte de batailles dois-tu livrer chaque jour ?
  6. Si tu affrontes ces batailles avec tes propres forces, les gagneras-tu ?
  7. À qui appartient la force qui t’est nécessaire pour gagner la guerre contre le péché ?
  8. Comment peut-on demander l’aide de Dieu pour ce combat ?
Concepts fondamentaux

Ézéchias était un roi de Juda fidèle à Dieu puisqu’il faisait ce qui était juste et obéissait à Dieu du mieux qu’il pouvait. Dieu lui accorda beaucoup de succès et il eut une belle vie jusqu’à ce qu’un autre roi, Sennachérib, décide de les attaquer, lui et son peuple. Ézéchias encouragea alors son peuple en disant :
« Fortifiez-vous et soyez pleins de courage! N’ayez pas peur et ne vous laissez pas effrayer face au roi d’Assyrie et à toute la foule qui est avec lui, car avec nous il y a plus qu’avec lui. Avec lui il y a un bras de chair, tandis qu’avec nous il y a l’Eternel, notre Dieu, qui nous aidera et qui combattra pour nous. » (2 Chroniques 32.7-8).

La Bible nous dit que toute la population fit confiance aux paroles d’Ézéchias (2 Chroniques 32.8). Le roi d’Assyrie n’abandonna cependant pas la lutte. Il essaya de décourager Ézéchias et son peuple en disant qu’il avait détruit d’autres nations. Sennachérib ridiculisa aussi Dieu en disant : « Les dieux des nations des autres pays n’ont pas délivré leur peuple de ma domination. Il en ira exactement de même pour le Dieu d’Ezéchias: il ne délivrera pas son peuple de ma domination. » (2 Chroniques 32.17).

Le roi Ézéchias et le prophète Ésaïe supplièrent Dieu de les secourir. Dieu envoya un ange détruire l’armée assyrienne. La Bible nous dit que Dieu leur accorda la paix sur toutes les frontières (2 Chroniques 32.22). Au lieu de se décourager, Ézéchias se fia à Dieu, et Celui-ci vint à son secours.

Dans nos propres vies, nous avons une toute autre bataille à livrer : la bataille contre le mal et la tentation de faire de mauvaises choses. Que ce soit d’être tenté de désobéir à ses parents, d’être méchant envers des amis ou de la famille, ou d’être égoïste, en voulant toujours les choses à notre façon… Si nous essayons de « gagner » cette bataille contre le péché sans l’aide de Dieu, il nous sera bien plus difficile de résister à la tentation. Nous pouvons combattre efficacement le péché lorsque nous prions tout comme Ézéchias l’a fait et demandons à Dieu de nous accorder la victoire.

Du courage pour affronter le mal

Lire 2 Chroniques 26.1-6, 16-21

Questions pour la discussion
  1. Quel mal le roi Ozias a-t-il fait ?
  2. Qui a eu assez de courage pour dire au roi qu’il péchait ?
  3. Est-ce que Dieu appuyait ceux qui ont affronté le roi pour avoir mal agi ?
  4. Dans quelle situation devrais-tu confronter quelqu’un qui fait quelque chose de mal ?
  5. Quelle est la meilleure façon de confronter les mauvaises actions ?
Concepts fondamentaux

Ozias était le roi de Juda ; il dirigeait le pays tout entier ! En effet, le roi établissait tous les règlements et tous devaient lui obéir. Au début de son règne, Ozias faisait ce qui était juste aux yeux de Dieu, mais après être devenu puissant, il est aussi devenu orgueilleux. Il décida qu’il n’était plus obligé de se plier aux commandements de Dieu et choisi de brûler de l’encens lui-même dans le Temple de Dieu (Dieu avait réservé cette tâche aux prêtres seulement).

Le prêtre Azaria, accompagné de 80 autres prêtres, alla dire au roi Ozias que ce qu’il faisait était mal. Il a fallu beaucoup de courage pour dire ces choses au roi, puisque ce dernier avait le pouvoir de faire tuer quiconque le contrariait. Le roi Ozias devint en effet furieux. Alors qu’il se mettait dans une grande colère contre le prêtre, sa peau se couvrit de lèpre (une maladie de peau horrible). C’est Dieu qui l’avait frappé de cette maladie. Le roi Ozias a donc dû vivre en quarantaine pour le reste de sa vie, incapable de côtoyer d’autres gens, ni de se rendre au Temple pour prier et adorer Dieu.

Quoique notre tâche demeure d’encourager les autres à faire le bien (1 Thessaloniciens 5.9-15), il est important de se rappeler que seul Dieu peut juger (Romains 14.9-11, 1 Corinthiens 4.5). Galates 6.1 nous explique que lorsque nous devons corriger une autre personne, nous devons le faire avec douceur. Cela signifie que si nous reprochons à quelqu’un d’avoir fait de mauvaises actions, nous devons parler calmement et poliment. Par exemple, si un ami suggère de ne pas laisser ton petit frère se joindre à un jeu, tu pourrais répondre : « Souvenons-nous d’être gentils. Le Bible nous dit de traiter les autres de la façon dont nous aimerions être traités nous-mêmes. » Ce serait beaucoup mieux que de crier :
« Tu es méchant ! »

Confronter le mal peut être plus facile si nous nous aidons les uns les autres pour défendre ce qui est juste, tout comme l’ont fait les prêtres. Si un autre enfant indique que quelqu’un fait quelque chose de mal, tu peux le soutenir en disant : « Je suis d’accord avec toi ; c’est important de suivre les règlements établis par Dieu. »

Parfois, il y aura peut-être d’autres enfants qui te ridiculiseront pour avoir choisi de suivre Jésus et pour faire ce qui est juste. Ce sont là des moments où tu peux te rappeler que Jésus aussi s’est fait blesser par des gens. Quand les choses ne vont pas bien, Il nous aide à ressentir de la joie en nous donnant Son Esprit Saint.

Passages bibliques correspondants

Romains 14.10 « Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? Ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère? Nous comparaîtrons tous, en effet, devant le tribunal de Christ. »

1 Thessaloniciens 5.11 «  C’est pourquoi encouragez-vous les uns les autres et édifiez-vous mutuellement, comme vous le faites déjà. »

1 Thessaloniciens 5.15 « Veillez à ce que personne ne rende à autrui le mal pour le mal, mais recherchez toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous les hommes. »

Galates 6.1 « Frères et sœurs, si un homme vient à être surpris en faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le dans un esprit de douceur. Veille sur toi-même, de peur que toi aussi, tu ne sois tenté. »

Dieu nous protège

Lire le Psaume 91 et Romains 8.28

Pendant la lecture du psaume 91, demandez à vos enfants de lever la main chaque fois qu’ils entendent comment Dieu a protégé Son peuple. Mettez-les au défi de compter toutes les façons dont Dieu les a protégés.

Questions pour la discussion
  1. D’après le psaume 91, de combien de façons Dieu nous protège-t-il ?
  2. Au verset 14, quelle raison Dieu donne-t-Il pour la protection qu’Il nous donne ?
  3. Quand avons-nous besoin de la protection de Dieu ?
  4. Peux-tu penser à des façons dont Dieu t’a protégé du danger ?
  5. Si nous devions écrire un tel psaume ou poème sur nos vies à nous, qu’est-ce qu’il inclurait ?
  6. Dieu a permis que Paul traverse des situations difficiles et périlleuses. Dans Romains 8.28, de quoi Paul a-t-il vivement encouragé tous les croyants de se rappeler ?
Concepts fondamentaux

Nous devons nous assurer de ne pas être insensés et de ne jamais nous mettre nous-mêmes dans une situation dangereuse. Cependant, même lorsque nous sommes prudents, certaines choses restent hors de notre contrôle. Dans le Psaume 91, nous retrouvons plus de six façons dont Dieu nous protège. De nos jours, les animaux sauvages ne courent plus les rues, mais nous pouvons quand même être blessés d’autres façons. Nous pouvons remercier Dieu de nous protéger sur les routes verglacées, durant les tempêtes et quand nous sommes malades. Quand nous aimons Dieu et Lui demandons Sa protection, Il promet de ne jamais nous abandonner. Dieu nous promet aussi que, même si les choses semblent très mal aller, Il intervient toujours « dans les coulisses » pour que du bien transpire de chaque situation.